Publié le 2 octobre 2025

Quimper Cornouaille Développement réunit actuellement 32 collaborateurs, répartis au sein de cinq pôles, de la direction et des ressources. L’Agence s’appuie sur la diversité de profils de ses salariés et sur leur implication quotidienne au service de la Cornouaille.
Nous poursuivons cette série de portraits, en vous présentant Romaric MOYON, chargé d’études habitat, aménagement et observatoire.

Romaric, quelles sont tes missions à QCD ?
Au sein du pôle Aménagement et Observation du territoire, je mène et participe à des études sur l’habitat. Je travaille aussi sur l’observatoire territorial, en traitant des bases de données relationnelles et en réalisant des cartes souvent en lien avec cette thématique… mais pas uniquement !
Quel a été ton parcours professionnel avant de rejoindre QCD ?
Un parcours assez varié. Je suis nantais et j’ai aussi fait une grande partie de mes études dans la cité des Ducs de Bretagne. J’ai ensuite travaillé en région parisienne : 4 ans en collectivité territoriale, puis 5 ans en bureau d’études, avant de rejoindre l’Agence d’urbanisme de Brest (NDLR : l’ADEUPa). J’ai également pu mener un mandat d’adjoint au maire et de conseiller communautaire dans une préfecture francilienne.

Pourquoi as-tu souhaité intégrer l’Agence ?
Mon parcours m’a permis de voir les métiers du public et du privé, tout en étant “décideur”. J’ai appris à apprécier le rôle et le travail des agences d’urbanisme, situées à l’interface de ces différents mondes. J’ai choisi Quimper car son volet « agence de développement » permet de travailler encore plus proche du territoire.
Sur quelles missions / projets travailles-tu en ce moment ?
Je travaille actuellement à la finalisation du PLH du Pays Fouesnantais, j’accompagne une collègue sur le PLUi-H de Douarnenez Communauté et je prépare l’observatoire de l’habitat ainsi qu’une publication sur les densités urbaines.
Quelle est la plus grande satisfaction dans ton travail et qu’est ce qui te fait te lever le matin pour aller travailler ?
L’équipe ! Elle est géniale : on peut vraiment compter les uns sur les autres, et c’est une vraie motivation au quotidien.
Quels seraient tes conseils à un futur ou nouveau collaborateur ?
N’hésite pas à venir à QCD ! L’ambiance est top, tu trouveras des collègues avec de réelles compétences, toujours prêts à partager et à transmettre.

Tu travailles au service de la Cornouaille. Que t’inspire ce territoire ?
Le Sud Finistère, c’est le territoire de deux de mes grands-parents, donc j’ai un attachement familial. C’est une terre pleine de potentiel mais aussi de nombreux défis : réussir à concilier attractivité et préservation des ressources environnementales.
Quelle est ta plus grande fierté dans ton travail ?
Être utile à mes collègues et au territoire.
As-tu une anecdote amusante sur ton métier à nous faire partager ?
Dans un de mes précédents postes, je suis allé rencontrer un maire d’une autre région avec une technicienne locale, pour lui expliquer quels espaces naturels et agricoles il faudrait préserver pour assurer la trame verte et bleue. Avant même que je puisse finir, il m’a présenté avec fierté la maquette de son projet de centre commercial avec une emprise de… 16 000 m² au sol ! C’est l’unique fois dans mon métier où je suis resté bouche bée, complètement scotché. La technicienne a dû me donner un coup de coude pour que je reprenne mes esprits avant que le maire ne s’en rende compte !
Une rencontre marquante ?
Mon travail avec Odile Dubois-Joye, mon ancienne directrice d’agence à Urbanis (aujourd’hui directrice des études à l’ANIL). J’ai eu l’impression de vivre un vrai coup de foudre professionnel – si on peut appeler ça ainsi. Une rencontre qui restera gravée.
Quelle est ta devise dans la vie ?
J’aime beaucoup cette citation d’Helen Keller : « Seuls, nous pouvons faire si peu ; ensemble, nous pouvons faire beaucoup. »
Plutôt crêpe ou galette ?
Je suis nantais, donc galette !
Si tu devais choisir un mentor ?
Je n’ai pas de mentor unique : chacun possède une partie de la solution pour que le monde tourne rond. Mon mentor, c’est le collectif.
